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Avez-vous déjà entendu le nom de Banksy, le maître du Street art ? Malgré ses nombreuses années de célébrité dans l’univers des cultures urbaines, son identité et son vrai nom restent pour la majorité d’entre nous un véritable secret et font l’objet de spéculation.
Il s’agit en fait d’un graffeur urbain britannique, de renommée internationale. Il est reconnu pour ses œuvres frappantes, choquantes et humoristiques, mais aussi en tant que réalisateur de films et activiste politique. Au début, cet artiste de la rue s’est fait remarquer en faisant des graffitis sur les murs et les trains à l’aide de bombes de peinture à Bristol, sa ville natale. Il a gagné en popularité, mais est resté anonyme.
En fait, les tags aux murs et les street arts sont encore jugés d'actes illégaux. Cela peut être une raison principale de ce choix d’anonymat. Pourtant, les œuvres de l’artisan sont de plus en plus célèbres et véhiculent des messages touchants. Quel est le visage de Banksy ? Découvrez dans cet article le portrait de cet artiste de street art anonyme et engagé.
C’est peut-être difficile de savoir qui est réellement Banksy. Cependant, il y a des informations qui méritent d’être connues à propos de ce grand artiste de rue. D’environ quadragénaire, ce peintre britannique travaille constamment sous son pseudonyme en peignant des fresques murales dans les rues au pochoir. Il est même surnommé l’art-terroriste en étant partout et nulle part en même temps.
Dénommé aussi le roi de la provocation, c’est un personnage polyvalent. Il travaille les pochoirs et des performances picturales éphémères. Il réalise des peintures et des sculptures. Il excelle dans le détournement d’œuvres classiques ou d’objets urbains (sculpture et recyclage).
Autant mystérieux que provocateur, cet homme réalise des œuvres à la fois antimilitaristes et anticapitalistes. À part son art, il présente peu de choses qui le concernent et surtout il refuse de le faire. Aucun média n’arrive à l’interviewer.
Mais ce qui est sûr, c'est que Banksy fascine les fans d'arts urbains par ses impressionnants ouvrages qui tapissent les murs du monde entier depuis les années 90. Sa technique inspire même certains artistes amateurs et professionnels. Elle a aussi permis de chambouler des codes artistiques.
Il s’agit également d’un réalisateur du film américano-britannique « Exit Through the Gift Shop » ou « Faites le mur », qui présente sa relation avec un street artiste français, dénommé Thierry Guetta, alias Mr Brainwash.
Le mystère continue, car apparemment Monsieur n'apparaît devant la caméra que masqué. Le documentaire fera découvrir le quotidien des street artistes de la nuit et des artistes urbains.
Au début, l’homme anonyme s’est mis à graffer à main levée avec la bombe aérosol. Le graffiti n’est devenu son terrain de jeu qu’en 1992.
L’artisan utilise principalement la méthode du pochoir, qui consiste à créer des motifs sur un support rigide (métal, bois…) et découper par la suite les contours. Ces patrons plaqués vont être collés au mur pour les reproduire à l’identique en l’aspergeant de peinture.
Cette technique permet entre autres d’accélérer la réalisation de l’œuvre afin d’échapper à la police, étant donné que cette pratique est illégale et éphémère. Elle offre aussi la possibilité de refaire le même dessin à différents endroits. Le pochoir est une méthode efficace pour garder facilement l’anonymat en restant rapide et discret.
Différents personnages reviennent régulièrement dans son art mural, comme les enfants, les célébrités, les personnes âgées ou les soldats. C’en est de même pour les animaux, notamment les rats, les éléphants et les singes.
Banksy s’est inspiré de l’art urbain effectué par un graffeur pochoiriste français, appelé Blek le Rat. Dans les années 90, il a donc commencé à faire des tags puis a rejoint un groupe d’arts de rue de la région.
D’ailleurs, l’homme au visage masqué a créé le « Hip Hop Rat », en hommage à son parrain. Des centaines de rats sont également peints sur les murs, les rues et les ponts de Bristol et un peu partout dans le monde. Qu’importe, l’œuvre du tagueur évoque une technique de pochoir particulière avec quelques touches d’humour noir.
Le street artist britannique a commencé à exprimer son esprit moqueur avec la fresque murale « The Mild Mild West », apparue en 1999. A partir de cet ouvrage, il a pu interpeller les célébrités, les journalistes et tout le monde, ce qui lui a permis d'atteindre son objectif.
En 2004, l'art-terroriste séduit les Anglais avec de faux billets de 10 pounds à l’effigie de Lady Diana au lieu de la tête de la Reine Elizabeth II. Il a également mis « Banksy of England » à la place de « Bank of England ». Comme certains artistes, chaque peinture murale évoque des messages politiques controversés et des slogans percutants mélangés à des poésies et de l'humour.
Le street artist britannique transgresse les règles, exploite tous les moyens disponibles afin d’entamer une lutte pour les bonnes causes et pour secourir les plus démunis. Il joue les provocateurs tout en ajoutant quelques doses d’humour pour faire passer les messages.
Cet artiste-peintre anglais est vraiment étonnant de par sa capacité à conserver soigneusement son anonymat. Malgré la réalisation de multiples fresques sur les murs dans des lieux publics, son identité n’a jamais été démasquée, sauf son lieu et sa date de naissance. En plus, les proches de l’artiste de rue contribuent à ce mystère.
On ne connaît pas son visage, un véritable mystère jusqu’à ce jour. De nombreuses hypothèses ont toutefois été évoquées à son égard, selon lesquelles le mystérieux peintre pourrait être :
Certaines personnes ont même pensé que derrière ce pseudo, c’est en réalité une femme ou encore un groupe d’individus. Lors d’une interview réalisée en 2003 dans The Guardian, on l’a juste décrit comme un individu de teinte blanche de 28 ans, qui porte une tenue débraillée et décontractée avec un jean et un T-shirt. Il possède une dent, une chaîne ainsi qu’une boucle d’oreille en argent.
Le street artist anglais a réalisé de grandes fresques et des graffitis sur les murs aux quatre coins du monde à l’aide de pochoirs. Aujourd’hui, certaines de ses œuvres sont très reconnues et peuvent valoir des millions aux ventes aux enchères. Parmi celles-ci, la Petite Fille au ballon peinte à Londres en 2002 en noir et blanc et cœur rouge est un véritable coup de génie de l’art contemporain.
En 2018, la vente aux enchères de sa version sérigraphiée fait la une des plus grands buzz artistiques. En fait, l’œuvre s’autodétruit peu après seulement le coup du marteau du commissaire-priseur pour l’adjudication. Derrière elle se situe « We the youth » de Keith Haring, un peintre et dessinateur américain.
La toile intitulée Devolved Parliament (2009), un tableau qui présente les membres du Parlement britannique sous l’apparence de chimpanzés en siégeant à l’Assemblée, a suscité de nombreuses polémiques. Elle a pour autant été vendue à pratiquement 10 millions d’euros en octobre 2019 durant une vente aux enchères.
Si vous souhaitez agrémenter votre espace de vie avec une touche d’art de rue, venez découvrir un large choix de tableaux et de portraits de Banksy sur notre site ! Vous pouvez également admirer son travail dans une expo.
La star incontournable des arts contemporains a commencé à publier son travail dans les années 1990. D’ailleurs, il fait partie des artistes contemporains les plus célèbres de notre ère. Depuis qu’il est reconnu mondialement, ses œuvres ont rayonné dans tous les continents. Il est très courant de les trouver dans les musées ou encore les galeries d’art.
La première exposition de l’ensemble de son œuvre s’est déroulée en Grande-Bretagne en 2000, puis s’ensuivent de nombreux autres vernissages à l’étranger. Le graffeur bristolien est devenu le plus célèbre du Royaume-Uni. Il s'est forgé en notoriété partout dans le monde entier.
Quelques livres évoquent l’histoire de ce street artist comme « Guerre et Spray » ou encore « Banksy, l’artiste qui graffait sur les murs (et s’en fichait) ».
Vous pouvez admirer le travail du bombeur anglais un peu partout : Londres, Paris, Bruxelles, Melbourne, New-York, Bethléem, etc. Il a même peint des murs d’un parc d’attraction, de prisons, de zoos, de façades d’hôtels ou encore le mur de séparation entre les territoires palestiniens et Israël. Ses travaux ont un énorme succès.
On se demande certainement pourquoi un tel personnage mythique et mystérieux attise la curiosité des passionnés de la culture urbaine. Il fait partie des artistes contemporains les plus réputés du XXIe siècle. Mais ce n’est pas tout, l’homme mystère s’impose comme une véritable icône du mouvement artistique underground.
S’il est devenu célèbre, c'est principalement parce que ses œuvres à la fois touchantes, percutantes, scandaleuses, provocatrices et humoristiques reflètent son engagement sociétal. Le fait de distribuer de faux billets à l'effigie de la Princesse Diana durant un festival ou de s’introduire de manière incognito au Museum of Modern Art, New-York pour déposer l’une de ses toiles, lui mérite le surnom « art-terroriste ».
Cet artiste légendaire aime provoquer, remuer et déranger la société. Son succès planétaire ne fait que contribuer à la démocratisation de l’art de rue de telle manière que les maisons et les marques de luxe s’y adaptent. Il n’est pas rare de trouver actuellement des tableaux street art de cette icône dans les décorations intérieures.
Vu que ses chefs-d’œuvre sont visibles partout, elles obtiennent rapidement une stature internationale inégalable dans ce domaine.
Banksy véhicule des messages percutants à travers ses peintures murales. Il se veut réellement anticapitaliste, antimilitariste et revendicateur pour déranger les consciences. Certains de ses travaux dénoncent la guerre, la violence, les inégalités, la privation de la liberté, la discrimination et le racisme. C’est le cas de la fresque sur le mur de l’Université al-Qods de Jérusalem ou également celle de Gaza.
Une peinture évoque aussi deux policiers qui s’embrassent dans la zone sud de la Grande-Bretagne pour inciter le respect de la relation entre deux personnes du même sexe.
L’œuvre de ce troubadour des ères modernes représente des cris de personnes, qui se sentent choquées par les dysfonctionnements de tout l’univers. Elle diffuse des messages d’espoir, comme ce qu’il a fait en entrant dans l’enclos des éléphants à Bristol pour peindre un message pro-liberté : « Je veux sortir. Il fait trop froid. »
Étant son œuvre la plus reconnue, « La Fille au Ballon », autodétruite en 2018, a battu le record de vente de ses tableaux, avec 18,6 millions de Livres (21,8 millions d’euros). En fait, l’artiste de rue britannique l’a détruit partiellement en pleine séance des ventes aux enchères pour dénoncer les excès qui accompagnent le pouvoir et l’argent.
Il y a 4 ans, sous le regard ahuri des assistances, un broyeur situé au niveau du cadre commence à détruire la partie inférieure de la toile, une fois que le coup de marteau d’adjudication a retenti. Mais l’objectif n’est pas atteint. Au contraire, la vente de la pièce constitue l’un des meilleurs moments en termes de performance artistique du siècle. L’argent est versé au service de santé britannique.